Joanne Elizabeth Lauck présente une perspective psychologique et spirituelle unique sur les insectes et interroge notre relation à ce microcosme. L’Indien Sioux Élan Noir n’a cessé d’insister, tout au long de sa vie, sur la grande unité du monde des vivants, expliquant «qu’on devrait porter attention à la plus insignifiante des petites bêtes qui rampent, car elle détient peut-être une leçon précieuse pour nous ; et même la plus infime des fourmis peut souhaiter communiquer avec un être humain».
L’état de dégradation de la planète nous renvoie à nous-mêmes. La pollution extérieure traduit notre pollution intérieure. Dans cet essai original, les auteurs jettent des ponts entre psyché et environnement pour questionner le rapport de l’homme moderne à la nature.